La Chine m'intrigait, me questionnait, m'inquiêtait même, je le confesse volontier.
(cf: l'excellent, "La Chine m'inquiête, Jean-Luc Domenach. Il explique notamment que " lorsque la croissance chinoise se normalisera, la Chine s’agitera. La croissance économique de la Chine, de 9% l’an depuis trente ans, est en effet très inégale, entre les individus comme entre les territoires. Elle profite actuellement à une élite " plouto-bureaucratique " (...) Une classe moyenne est apparue, qui ne regroupe pas plus de 10 à 20% de la population (cela fait quand même un joli marché de 200 millions de consommateurs). Et il y a un prolétariat de 150 millions de travailleurs migrants, qui ont quitté la campagne pour gagner de quoi payer l’éducation de l’enfant(...)")
J'ai eu l'occasion de la découvrir cette Chine, aussi phénoménale et gigantesque soit-elle. Un mois c'est peu, je vous l'accorde mais j'ai refusé les circuits touristiques tous tracés et prédéfinis, qu'ils sont si nombreux à choisir.
Je suis rentrée très exactement le 8 septembre et mon regard de communicante m'a ainsi conduite vers une analyse fortement empreinte de cela. J'avoue avoir été (notamment) surprise par le démultiplication des formes communicationnelles que ce pays propose. Partout, des images, des encarts publicitaires et des écrans notamment dans les métros et les taxis.
Or, j'ignore si le "tout image" et le "tout pub" fonctionne réellement. Les limites de l'affichage pub semblent ici atteintes.
(cf: l'excellent, "La Chine m'inquiête, Jean-Luc Domenach. Il explique notamment que " lorsque la croissance chinoise se normalisera, la Chine s’agitera. La croissance économique de la Chine, de 9% l’an depuis trente ans, est en effet très inégale, entre les individus comme entre les territoires. Elle profite actuellement à une élite " plouto-bureaucratique " (...) Une classe moyenne est apparue, qui ne regroupe pas plus de 10 à 20% de la population (cela fait quand même un joli marché de 200 millions de consommateurs). Et il y a un prolétariat de 150 millions de travailleurs migrants, qui ont quitté la campagne pour gagner de quoi payer l’éducation de l’enfant(...)")
J'ai eu l'occasion de la découvrir cette Chine, aussi phénoménale et gigantesque soit-elle. Un mois c'est peu, je vous l'accorde mais j'ai refusé les circuits touristiques tous tracés et prédéfinis, qu'ils sont si nombreux à choisir.
Je suis rentrée très exactement le 8 septembre et mon regard de communicante m'a ainsi conduite vers une analyse fortement empreinte de cela. J'avoue avoir été (notamment) surprise par le démultiplication des formes communicationnelles que ce pays propose. Partout, des images, des encarts publicitaires et des écrans notamment dans les métros et les taxis.
Or, j'ignore si le "tout image" et le "tout pub" fonctionne réellement. Les limites de l'affichage pub semblent ici atteintes.
Personnellement, lorsque communication rime avec profusion, je me positionne plutôt défavorablement.
A présent, mon regard d'être humain et de citoyenne peut s'exprimer. il ne s'agit nullement de faire de la démagogie ou de la politique politicienne mais je me questionne encore sur ce pays d' 1,5 milliard d'habitants pour qui "être libre" a de fait une toute autre signification, signification que pourtant je pensais universelle.
L.G
A présent, mon regard d'être humain et de citoyenne peut s'exprimer. il ne s'agit nullement de faire de la démagogie ou de la politique politicienne mais je me questionne encore sur ce pays d' 1,5 milliard d'habitants pour qui "être libre" a de fait une toute autre signification, signification que pourtant je pensais universelle.
L.G
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire